A l’instar de la planète terre qui a comme boisson de référence le cocacocaca,
la boisson qui fait coller le caca au fond du slip, au Paimboeufland nous avons aussi un breuvage
ancestral connu de tous, au moins dans la rue principale, il s’agit du : « iyoguy
tea ». C’est un rafraichissement que
nous buvons uniquement pour la Saint Guy et les jours pairs, il est à base de
branche de gui, de racine de pin parasol, d’acide chloridrique et de cannelle. Au tant
dire que c’est une boisson infecte, et plus d’un sont morts en tentant de finir
leur godet. On a tout essayé, même de la couper avec de l’alcool à 90°, mais il
est impossible de faire passer cet ignoble goût de cannelle.
Originaire du dark side du Paimboeufland en direction du kiosque à journeau Passar Âne , les cannelliers sont des arbres sans
fois, ni lois qui poussent où bon leur semble. Pour se développer la graine de
cannellier peut attendre plusieurs années l’urine de punk à chien indispensable
à sa germination. Dans cette zone de non droit peuplée de virus mutants, d’insecte
scatophages et de sosies de Dave, les punks
à chien viennent souvent uriner dans la pénombre à l’abri des regards
indiscrets. La petite graine entame alors un long processus de développement.
La première année est appelée le stade anal, les premières feuilles apparaissent et exhalent dans l’air une forte odeur de caca mou. La deuxième année appelée adolescence, les petits cannelliers essaient sans succès de se reproduire, n’y arrivant pas, ils s’automutilent le tronc de rage en laissant des inscriptions comme : « Love Kévin « ou « A ma mère » entouré d’un cœur. La troisième année appelée la retraite, l’arbre devient adulte et ouvre un plan d’épargne logement chez ce con d’écureuil qui squatte en général la dernière branche des arbres adultes.
La première année est appelée le stade anal, les premières feuilles apparaissent et exhalent dans l’air une forte odeur de caca mou. La deuxième année appelée adolescence, les petits cannelliers essaient sans succès de se reproduire, n’y arrivant pas, ils s’automutilent le tronc de rage en laissant des inscriptions comme : « Love Kévin « ou « A ma mère » entouré d’un cœur. La troisième année appelée la retraite, l’arbre devient adulte et ouvre un plan d’épargne logement chez ce con d’écureuil qui squatte en général la dernière branche des arbres adultes.
C’est à partir de là que le cannellier commence à secréter
sur son écore une épaisse gomme rouge que les enfants viennent ramasser et
rouler entre leur doigts agiles comme des crottes de nez. Les boulettes sont
alors mises à sécher au soleil, pillées, irradiées et réduites en poudre.
Poudre que nous retrouvons alors dans le iyoguy tea, et qui exhalera ses vertus détox et
intox, tant recherchées par les concessionnaires de voiture d’occasion.
Prenant comme base la recette ancestrale, d’autres ingrédients
ont été ajouté pour lui donner différentes propriétés : dans le iyoguy tea « Bonheur », il y a de petits
morceaux d’enfant souriant, dans le iyoguy tea « vitalité sexuelle », on a mis
des pellicules de DSKeu, dans le iyoguy tea
« Total » : des galette de mazout bretonne, dans le iyoguy tea « bouillon de culture » :
les lunettes de Bernard pivot et dans le iyoguy tea « minceur » on a rien mis le
sachet et vide.
A chaque petits tracas de la vie le iyoguy tea vous accompagne… Et si vous n’aimez pas la
cannelle vous êtes de la merde et vous ne méritez pas de vivre dans la paix et
la sérénité, bande de pourritures de rat de fosse sceptique.
A bon entendeur les canneliers du Paimboeufland vous
souhaite leur condoléance !
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