Au Paimboeufland la kébaologie est une discipline enseignée dès le plus jeune âge. On apprend, entre autre, à différencier le kébab mâle du kébab femelle. C’est très facile. Le kébab mâle a des poils à l’intérieur, alors que le kébab femelle à une étrange odeur de marée montante.
On ne sait pas vraiment à quelle date le premier kébab a été découvert. On sait juste que les explorateurs avaient tellement bu de bière qu’ils ne se souvenaient plus à quel siècle ils appartenaient. Dans leur manuscrit de voyage taché de bile, ils ont noté avoir découvert un kébab enfouit sous un tas de feuille morte sur lequel ils avaient tous vomit. Le nom de Kébab avait été donné à la petite bête car c’était le nom inscrit sur le collier qu’il portait autour du cou.
Après de nombreuses digestions de kébab, nos éminents kébabologues, dont le chef de file fût le professeur Philippo Pipo, mirent en évidence une troublante similitude entre le concombre de mer et le kébab. En effet, bien que vivant dans des milieux différents, tout deux ont développé le même système de protection. Quand il est stressé le concombre de mer, projette de long filament allant même jusqu’à projeter ses propres organes internes. Pour le kébab il en va de même, quand on lui appui dessus, de la sauce blanche sort en jet de son orifice cloacal, si la pression exercée est trop grande il peut même rejeter de petits morceaux de viande grillée. Du temps où le Paimboeufland était gouverné par les dentistes-fasciste certaines expériences ont même démontré que quand on voyait sortir des oignons du kébab, la mort survenait inexorablement.
Toutes ces années d’étude furent financées en partie par les filières agro-alimentaires de Paimboeufland qui avaient pressenti, bien avant tout le monde, la manne économique que pouvait représenter l’élevage de kébab. Aujourd'hui tous les kébabs que nous mangeons sont issus d’élevage industriel. La bande de trou du cul qu’on nomme aussi « gouvernement du Paimboeufland » après avoir ouvert la vanne à fric des subventions pour organiser la filière de l’élevage de kébab veut maintenant créer un label « kébab sauvage ». En effet la filière du kébab a trop subit de dérive, nous n’aborderons même pas la polémique pain/galette, qui au final n’est que du pipi de chat face au kébab OGM-quétchup. Ce kébab OGM a vu le jour sous le fallacieux prétexte que le quétchup rendait plus digeste le kébab. Or chacun sait que le kébab est indigeste pas nature et que c’est ça qui en fait sa force. D’où l’inutilité de la création de cette chimère kébab-quétchup qui n’aura eu pour but, encore une fois, que de graisser la pompe à fric de tous ces laboratoires privées qui puent le caca de chien.
En attendant le label « kébab sauvage » que les producteurs vont avoir la chance de payer pour que le consommateur dupé puisse s’y retrouver, je vous conseille les kébabs de chez Tony l’enculé. Tony prend soin de ces kébab, les laisse courir au moins deux heures avant l’embrochage et il les fourre avec des légumes de saison : choux, poivron, tomate, beurre de cacahuète, antigel pour l’hiver ou châtaigne à l’automne. Tony prend également soin de congeler ses stocks de viande dans de grand sac poubelle, ainsi quand la viande est décongelée et que Tony remarque qu’il s’est encore fait enc… doublé en achetant un stock de viande avariée, il peut directement jeter le tout à la benne (sauf en fin de mois où il utilise tout ce qui peut faire office de viande : morceaux de pneu, frange de ballet espagnol, touffe de cheveux encrassée et coincée dans la douche…)
FORZA Kébab
Le maître à penser des Kébabologues
Paimboeuf l’alpha et l’oméga
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je ne regarderai plus les kebab de la meme facon!!!a vrai dire je me demande si j'en remangerai un jour!!!!........
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