Fin de la double spirale de la LOOSE !

Ce Week-end avec quelques habitants du Paimboeufland, nous avons décidé de faire une sortie culturelle hors de nos frontières. Cette sortie fut murement préparée lors de l’inauguration de la nouvelle association du Paimboeufland baptisée : Sans gluten, Sans frontières. Association crée par un de nos habitants : le Petit Chose, dont la mission sur terre est de combattre le gluten au quatre coin du monde. Le Petit Chose a également le projet d’étendre son linge et son combat en créant le site : amours bio et sans gluten, où les gens qui détestent cette crevure de bâtard de gluten peuvent se rencontrer et s’accoupler en toute liberté dans le but de procrée une génération de gluten free.
Bien sur au Paimboeufland nous soutenons le combat du Petit Chose, mais nous ne renoncerons évidement pas a consommer des kébabs, car nous sommes désespérés mais pas fous !
Durant cette soirée qui m’a plongée dans un coma éthylique profond pendant plusieurs semaines, nous avions pris la décision d’aller voir une exposition de têtes de morts faites au crochet n°4. Evidements je ne me souvenais plus d’avoir permis à mes citoyen de sortir ainsi hors de nos frontières mais passons… D’après une étude scientifique du professeur Jean-Paul POL, les meilleures décisions qu’un être humain puisse prendre se situe aux alentours de 2.3 g d’alcool par litre de sang.
Mes acolytes alcooliques et moi-même nous sommes donc approchées des frontières du Paimboeufland rejoignant l’autre monde et avons arrêté la première voiture qui passait par là. Et par un pur hasard, nous sommes tombées (aïe) sur la voiture de Nicotine la jardinière, la femme de Nicolas (le jardinier). Emballée par notre idée culturelle d’exposition de tète de morts faites au crochet n°4, elle changea son itinéraire qui devait la conduire dans un bar à pute espagnols où elle devait y faire une animation ( Fellation et Géranium), pour nous conduire à Sète, la ville du grand Georges à moustache.
Arrivée dans la ville du Mont St Clair où un pénétrant brouillard nous empêchait même de voir nos pied, nous tâtonnèrent donc jusqu’au MIAM : le Musée International des Arts Modestes. Dans ce musée on apprend qu’être artiste ce n’est pas que signer son gros nom de connard en bas d’un tableau, l’art c’est aussi crée au point de croix une frise de grenades sur une nappe blanche et écrire au centre : TOUS EGAUX – TOUS MORTS. Ça c’est une nappe du dimanche qui vous remet les idées en place après la messe !
L’art c’est aussi un mur de canevas mis bout à bout qui nous donne l’agréable impression que l’art est à la porté de tous, même dans les innombrables représentations de caniches.
Au MIAM, il y a aussi la collection permanente, un ensemble de vitrine « la class » qui nous font voir la vie en technicolor !
Après tant d’émotion nous sommes retournées au Paimboeufland nous saouler. La fée Claudette nous y attendait avec des hectolitres de vin chaud, je ne sais pas ce qui c’est dit alors, mais j’imagine que nous avons pris de bonnes décisions !
La suite au prochain numéro !

Paimboeuf, ULCERES NO PASSARAN !

1 commentaire:

  1. Nous retiendrons notamment les performances textiles de Jean-Michel Trovit,qui décidément va trop vite pour notre société et sa mentalité étriquée (héritée de nos ancêtres, les Culés de Baltringue).Bravo Jean-Michel, dans ce monde où tout va trop vite,tu es un précieux prophète!

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